"Il nous faut une liste unique; tous ceux qui supportent le changement doivent adhérer à la liste unique."  " Le Chef de l'Etat veut que le paysage politique soit réduit à un ou deux partis". La première phrase est de l'OEDIPE Yayi Boni, la seconde du gestionnaire des revenants de Zinvié, Soulé Mana Lawani.

Les objectifs ont été atteints dans des communes où la personne humaine a été animalisée. Elles ont pour nom : Gogounou, Bembèrékè, Bassila...

Une chose est sûre: ces communes vont connaître l'émergence. Ils ont suivi le Molhar du changement. Elles nous montrent même le chemin à suivre pour devenir sous-homme : oublier la différence, la contradiction..

On en viendrait à décorer Soglo qui a comparé Yayi Boni à Eyadéma à travers son one man show ou mieux à Mobutu Sese Seko. On connaît comment les élections se déroulaient dans ces dictatures sanglantes. Un seul bougnoule inonde les bulletins, un seul logo est présenté. Il en a été de même pour la liste FCBE dans ces communes. Cela s'appelait dictature, cette manière de faire les élections.

Mais ces dictatures étaient mieux

Ils offraient en plus du OUI un NON. Le pouvoir de Yayi ne veut même pas du non. Les populations ont voté non en refusant d'aller voter à une élection aussi insipide, sans piment.

Mobutu et autres Castro et Franco à travers leur élecion rigolo étaient donc mieux que l'Oedipe Béninois qui veut tout, tout et encore tout sans savoit quoi en faire à la fin.

Nous sommes tombés bas, très bas même avec ce petit paysan de Tchaourou.

Kpikpivi Josias