Le conseiller technique cocufié par le Dr Boni YAYI

On ne le dira jamais assez: le pouvoir est comme un feu dangereux à ne pas laisser dans les mains des inexpérimentés.
Ils en font un très mauvais usage.
C'est comme laisser à côté d'un malfrat un Ak-47 chargé.


Il a tout eu : joli contrat avec sa citadelle adorée où la gloire du prince maudit du changement est chantée et le reste des Béninois vilipendé et taxé d'apatrides et d'ennemis du peuple.

Le pauvre Edgard, puis que c'est de lui qu'il s'agit a tôt fait de s'illustrer dans une lècheculture qui lui a finalement coûté sa vie de couple. Tout le monde se souvient avec quelle joie il annonçait fièrement sur Week end matin qu'il est père d'un enfant. La question se pose de savoir qui est aujourd'hui le vrai père de cet enfant.

En effet, pour ceux qui ont suivi le chef d'œuvre cinématographique, Mobutu, Roi du Zaïre, un ancien ministre de l'information témoignait que le boss du Zaïre faisait des avances à sa femme en sa présence et il ne pouvait rien faire contre de peur de se retrouver entre quatre planches. Il a avoué que beaucoup de femmes sont passées à la casserole, que dis-je par le bâton de Mobutu.

Le président Nicéphore Soglo comparait le roi du changement à Mobutu. Cela me sidère de plus en plus ces derniers car il a vu le diable grandir.


Faisons court, tout le monde sait les conditions dans lesquelles Edgard a été lancé sur l'orbite du changement et la fortune qu'il a commencé à amasser sur le dos des journalistes et des collaborateurs mais surtout du délit d'initié qui lui permettait de ne rien devoir au fisc sous le manteau de promoteur du changement.


Le roi du changement pour équilibrer tout ce gain s'est jeté comme d'habitude comme il a su le faire avec la putain de la République et la jeune stagiaire docteur (nous reviendrons sur l'élément) sur les intérêts du petit conseiller. Disons-le comme le garçon de Yopougon passé député depuis, Bénoît DEGLA.

Yayi Boni a proprement à la Malko Linge travaillé sur l'espace intime d'Edgard au vu et au su de tout le monde pour humilier le jeune conseiller. Une fois, deux fois, trois fois, encore, encore, encore, encore : il en a pris goût et contre le poste, le jeune conseiller doit accepter le partage de son territoire. Le hic est que le jeune conseiller a été interdit de divorcer avec insistance du chef et du papa, complice.

Depuis, à l'image du whisky, il s'offre au petit déjeuner la petite d'Edgard, au déjeuner la jeune docteur stagiaire, au dîner, la putain de la République.

Depuis, désemparé, Edgard a disparu du palais, baissé son niveau de frime et s'est laissé  consoler dans le stupre et la fornication avec une jeune peulh qui est certainement en train de ramasser les microbes du Dr Président.

Gare à ceux qui échangent des postes et quelques maigres prébendes contre leur territoire sexuel intime. Pour rien au monde, je ne laisserai la Kpetoun de ma go contre quoi que ce soit en provenance de ce Président. A bon entendeur.



06/10/2010
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