Pauvre Stephane...

Directeur qui raconte des bobards sur la chaine des contribuables, c'est regrettable et triste.

Edgard Guidibi, la caniche du PR qui connait les recoins et coins du changement l'a dit et redit sur son site. http://www.beninhuzu.org/spip.php?article3252

 Cet article est toujours sur le site et voila on nous envoie un petit qui cherche l'onction du PR pour ses basses oeuvres endormir les Beninois. Yayi a offert le match, Guidibi l'a dit et on a retenu cela. Point final.. Stephane, va te faire voir ailleurs.

Encadré : Un rattrapage dans la confusion


Tentative de rattrapage d'une situation certainement mal contrôlée. C'est bien l'exercice auquel s'est livré hier soir le directeur de la télévision nationale, Stéphane Todomè, reçu dans l'édition de 20 heures du journal parlé. Etait-il le plus indiqué pour convaincre les Béninois et surtout les travailleurs de ce que ni le trésor public ni le chef de l'Etat n'ont jamais mis un sous dans la retransmission des trois derniers matches de la 26ième Can dans huit pays alors suspendus par la société détentrice des droits de diffusion ? Non répondront beaucoup de téléspectateurs car il n'intervient ni sur la chaîne d'exécution des dépenses publiques au Bénin et n'est non plus chargé de telles questions même personnellement auprès du président de la République. D'ailleurs, indiquent certains, s'il était capable d'être aussi facilement informé de l'exécution de telles opérations, il aurait donc pu déjà en tant que directeur de la télévision nationale interdire la diffusion de l'information sur la chaîne qu'il administre. Pourquoi a-t-il attendu deux jours si ce n'est pas parce que les travailleurs s'en sont maintenant saisis pour se faire plus exigeants à l'égard du gouvernement. Même avec la supposition qu'il ne s'agissait que d'une opération de charme, comment une chaîne de télévision du secteur public de surcroît censée ne diffuser que des informations dont la véracité est établie peut-être diffuser sur plusieurs jours et de manière continue une fausse information ? Le flou est encore là et il faut des voix plus autorisées pour la dissiper en attendant que l'Odem et la Haac n'interpellent donc l'Office de radiodiffusion et télévision du Bénin (Ortb) et ses complices pour diffusion d'une fausse information.